Histoire :

L’événement porte le nom d’une course légendaire de 26 milles menée par un soldat grec nommé Philippides (connu sous le nom de Pheidippides) de la bataille de marathon à Athènes, où il a annoncé la défaite des envahisseurs perses. Sa mission étant terminée, il a apparemment couru à 150 milles de Sparte la veille. Les organisateurs des premiers Jeux Olympiques modernes à Athènes en 1896 ont conçu un marathon de 40 kilomètres pour célébrer les réalisations de la Grèce antique. La distance a ensuite été étendue à 26 miles mesurés par l’Empire aux Jeux olympiques de Londres de 1908, et augmentée à 385 mètres lorsque la ligne de départ a été tirée afin que les enfants de la Royal Windsor Nursery puissent la voir et finir toujours devant la reine Alexandra au White City Stadium dans l’ouest de Londres. Cette distance a été normalisée à 26 miles et 385 yards (42,195 kilomètres) en 1921.

Les Jeux olympiques de Los Angeles de 1984 ont accueilli le premier marathon olympique féminin.

 

Pourquoi courrons-nous des marathons ?

Courir un marathon est difficile, surtout pour les débutants. Mais qu’est-ce qui attire la foule, car ces jours-ci semblent faire fureur, mais pas pour tout le monde. Quant à savoir pourquoi ils choisissent de courir un marathon, les raisons varient d’une personne à l’autre.

Voici quelques raisons sur le pourquoi :

  1. Tester notre propre endurance
  2. Sensibiliser et soutenir des causes
  3. Le fait de courir, nous maintien dans un mode de vie sain.
  4. C’est une course contre soi-même, notre propre montre.
  5. Les amitiés et la camaraderies
  6. Amusement et dynamique de l’événement.
  7. Le maillot de course, les médailles, les goodies etc…

Comment préparer un marathon pour débutant ?

 

Courir un marathon demande beaucoup de travail et une grosse détermination. Pour la plupart des gens, il s’agit d’accepter les défis et de tester notre capacité à augmenter notre niveau. Quelles que soient vos raisons personnelles, vous pousser votre corps physiquement et mentalement. Cela signifie donc que vous devez être correctement préparé. Il est important que lorsque vous vous entraînez pour un marathon, vous vous prépariez de la meilleure façon possible. Adopter un programme de courses ou d’endurance et primordial afin d’augmenter nos capacités bian avant le jour J afin d’augmenter notre kilométrage hebdomadaire. Découvrez nos conseils importants pour préparer au marathon.

Commençer par des semi-marathons ou des courses au préalable. Cela vous aidera à comprendre la force et l’endurance requises pour la course à long terme. De plus, assurez-vous de commencer votre programme le plus tôt possible. Il est dit que vous devriez augmenter votre kilométrage hebdomadaire au moins un an avant le marathon. Autrement dit, n’entrez pas trop tôt et trop vite, sinon vous risquez de vous blesser !

Il est important d’augmenter le nombre de kilomètre par semaine pour habituer votre corps aux opérations à long terme. Chaque semaine avant le marathon, votre objectif devrait être d’augmenter votre kilométrage d’environ 10 % à 15%. Tâchez de courir 3 à 5 fois par semaine et assurez-vous de commencer le plus tôt possible pour vous donner le temps d’accumuler du kilométrage.

Courir un marathon est difficile, surtout pour les débutants. Mais qu’est-ce qui attire la foule, car ces jours-ci semblent faire fureur, mais pas pour tout le monde. Quant à savoir pourquoi ils choisissent de courir un marathon, les raisons varient d’une personne à l’autre.

Voici quelques raisons sur le pourquoi :

  1. Tester notre propre endurance
  2. Sensibiliser et soutenir des causes
  3. Le fait de courir, nous maintien dans un mode de vie sain.
  4. C’est une course contre soi-même, notre propre montre.
  5. Les amitiés et la camaraderies
  6. Amusement et dynamique de l’événement.
  7. Le maillot de course, les médailles, les goodies etc…

Qui peut courir un marathon ?

Quel que soit l’âge, le marathon peut se courir. Et même à 70 ans ! Avant de se lancer dans une telle course, il suffit de courir régulièrement et de prendre l’habitude de courir plus de 2 heures minimum. La course à pied est le sport le plus accessible à tous, quel que soit son poids ou sa morphologie. Les débutants commencent souvent trop vite, perdent très vite leur motivation car le cœur n’y est pas encore habitué. Il faut donc s’entraîner lentement à son rythme. Il s’agit avant tout de prendre du plaisir plutôt qu’un chronomètre !

Qui peut courir un marathon ?

Quel que soit l’âge, le marathon peut se courir. Et même à 70 ans ! Avant de se lancer dans une telle course, il suffit de courir régulièrement et de prendre l’habitude de courir plus de 2 heures minimum. La course à pied est le sport le plus accessible à tous, quel que soit son poids ou sa morphologie. Les débutants commencent souvent trop vite, perdent très vite leur motivation car le cœur n’y est pas encore habitué. Il faut donc s’entraîner lentement à son rythme. Il s’agit avant tout de prendre du plaisir plutôt qu’un chronomètre !

 

Comment savoir si on peut courir un marathon ?

Afin de commencer l’aventure marathon, un entraînement minimal est obligatoire. Le minimum acceptable est basique : faire 42 kilomètres au moins sur une semaine.

Si vous courez au moins 42 kilomètres par semaine pendant un certain temps, il est possible de courir un marathon. Il est fortement conseiller de commençer par un semi marathon afin de prendre les bonnes habitudes.

Le marathon se démocratise, et de plus en plus de coureurs s’inscrivent au marathon sans trop remettre en cause leur véritable capacité. Ce n’est pas en courant une fois par semaine que vous allez arriver à votre objectif de courir 42 kilomètres en douceur. La distance demande de l’endurance et un entrâinement plusieurs fois par semaine.

Il est très important de connaître sa VMA Vitesse Maximale Aérobie avant de préparer un programme pour le marathon ou semi-marathon mais aussi pour vos entraînements.

Comme évoqué dans l’onglet « DEBUTER LA COURSE A PIED », la valeur de votre VMA correspond à la vitesse à laquelle un courreur atteint sa consommation maximale d’hoxygène ou VO2 MAX. C’est la vitesse moyenne qu’un courreur peut maintenir pendant environ 6 minutes au maximum de ses capacités.

A titre d’information elle est denviton 14km/heure pour un courreur de niveau moyen et elle peut s’élever à 26km/heure chez les meilleurs athlètes.

Voici quelques exemples si cela pour vous insiper :

NGOLO KANTE footballeur professionnel 21km/heure

Kylian MBAPPE footballeur professionnel entre 17 et 19 km/heure

Ou courir son premier  marathon ?

 

Voici une liste pour vous des différentes courses de marathon en France et dans le monde. Beaucoup de coureur aiment voyager pour l apratique du marathon et aussi découvrir en même temps les différents endroits. Chaque parcours est différent, nous pouvons trouver des parcours plats comme des parcours sinueux…

Le marathon de TOKYO : Il fait partie des 6 grands marathon mondiaux et il se déroule en février. Il est aussi le plus récent des grands marathon, le premier s’étant déroulé en 2007. Il a été fondé par la japonaise Niiya Hitomi qui remporta la course inaugurale féminine en 2:31:09. Dans la catégorie masculine, c’est le Kenyan Daniel Njenga qui fut le premier vainqueur en 2:09:45

Le parcours marathon de TOKYO débute dans le centre ville de Tokyo dans le quartier de Shinjuku.

Le marathon de BERLIN : Il se déroule traditionnellement au mois de septembre. le premier marathon de Berlin a eu lieu en 1974. Autant dire quil a connu plusieur record du monde. Le parcours actuel commence à Tiergarten. Le premier marathon de Berlin fut remporté en 1974 donc par Günter Hallas en 2:44:53 chez les masculins et en 3:22:01 par Jutta Von Haase chez les féminines. A noter qu’il a été remporté 4 fois de suites par le Kenyan Haile Gebrselassie de 2006 à 2009.

Le marathon de BOSTON : C’est le marathon le plus ancien du monde, il a eu lieu pour la première fois en 1897 ! Il est couru au mois d’avril. Quelques 20 000 coureurs prennaient places depuis le début du XXIe siècle contre 200 en 1960. Le marathon de Boston est devenu la première course à offcialisée des coureuses, trois ans plus tard, il est devenu le premier grand marathon à organiser une course en fauteuil roulant. Le premier vainqueur chez les féminines etait Nina Kuscsik en 1972 (numéro officiel) en 3:10:26 et John J. McDermott chez les masculins en 1897 en 2:55:10.

Le marathon de CHICAGO : Il a eu le lieu pour la première fois en 1977. Ce marathon était connu initialement sous le nom de marathon du maire de Daley en référence au maire Richard J. Daley et il a lieu généralement en octobre. Le parcours débute au centre ville de Grant Park. Le coureur Khalid Khannouchi (Marocain) a remporté le plus grand nombre de marathon de Chicago (4 victoires) et la Russe Liliya Shobukhova a établi le record féminin avec trois victoires dans sa carrière.

Le marathon de LONDRES : Le premier marathon de Londres a eu lieu en 1981, remporté par Dick Beardsley en 2:11:48. Le parcours commence au Greenwich Park pour se terminer près du Buckingham Palace. La Norvégienne Ingrid Kristansien détient le record avec 4 victoires au marathon.

Le marathon de NEW YORK : C’est le la marathon le plus populaire, magique et passionnant. Il se dérouel dans une ville qui ne dort pas ! Et des millions de spectateurs s’y rassemblent pour encourager les coureurs. Le premier marathon de New york a eu lieu en 1970. le record masculin est détenu par Bill Rogers avec 4 victoires et Grete Waitz ches les féminines à 9 reprises, son meilleur temps 2:25:41 en 1980.

Le marathon de PARIS : Il s’agit d’un des marathons les plus importants du monde. Il se déroule en avril généralement. Le parcours débute sur l’avenue des Champs Elysées en passant par les bois de Vincennes et de Boulogne et se terminant à la Tour Eiffel (2021). Le 19 juillet 1896 Paris acceuille son premier marathon depuis la porte Maillot. Le premier vainqueur est le britannique Len Hurst en 2:31:30 devant 190 autres concurrents. En 2019 il y avait 49 155 coureurs et en 2021 il y en avait 35 000 pour cause de pandémie du Covid 19.

Conseils pour gérer son premier  marathon ?

https://www.conseils-courseapied.com/entrainement/faq-running/4521-comment-gerer-lallure-sur-marathon.html

Le marathon est une course qui demande un effort physique de plusieurs heures. Il faut donc savoir gérer les contraintes physiologique liée à l’effort et savoir gérer son allure marathon pendant les entraînements afin d’être prêt le jour de la course.

Pendant un marathon, le coureur doit faire face à l’épuisement du sotck de glycogène. La consommation de ces réserves de glycogène réduira inévitablement l’intensité de l’exercice à un niveau déterminé par la capacité du corps à mobiliser et à oxyder les graisses. Il est donc très important pour un marathonien d’éviter toute forme d’accélération excessive durant les 30 premiers kilomètres afin de maintenir au maximum son niveau de réserve de glycogène.

Durant la première heure de course, environ 50 % de l’énergie provient des graisses (lipides). Dans la troisième heure de coureur, ce pourcentage est d’environ 70% si le coureur est trop « gourmand » en glucides (ou glycogène). Malheureusement, lorsque le glycogène stocké est presque épuisé et que les lipides sont la principale source d’énergie, la vitesse de course chute fortement. Par conséquent, le coureur est piégé et doit fournir un éffort considérable pour chaque mètre parcouru. Durant la préparation et le jour de la course, l’enjeu du marathonien consiste à gérer efficacement les graisses pour se fournir en énergie et le jour  de la  course il faut respecter soigneusement l’allure travailée à l’entraînement dès le début de la course. Il faut aussi savoir adapter son allure en fonction des conditions météorologiques défavorable (vent, pluit, forte température…)et en fonction du type de parcours, plat, côte, accidenté…. 

Quels temps chrono pour son premier marathon ?

Pour une première expérience, l’objectif est de finir la course. Il faut choisir un plan qui soit résonnable et surtout à notre porté afin de participer au marathon sans pression. Il s’agit avant tout de prendre du plaisir dans ce qu’on aime faire, la course à pied.

Quelles chaussures choisir pour son premier  marathon ?

Règle importante : ne jamais courir avec des chaussures neuves pour la première fois, mais avec des chaussures bien rodées lors de votre préparation. La meilleurs pair, c’est celle dans laquelle on se sent bien.

Encore une fois, il n’y a pas de paire idéal pour le marathon. Cela dépend de notre disposition avant tout et de l’éstimation de notre temps de parcours du marathon. Par exemple, si on estime finir le marathon en plus ou moins 4 heures, il faudra privilégier l’amorti et le confort. Les impacts ne sont pas les mêmes en 4h ou en 2h30, il faut d’avantage d’amorti. Certains entraineurs recommande de s’orienter vers des marques spécialisées comme ASICS, MIZUNO, NEW BALANCE…

 

Qu’est ce que le drop ?

Le drop peut avoir son importance dans le choix d’une basket de running ou pour le mratahon. Il désigne la différence entre l’arrière (le talon) et l’avant de la chaussure. Par exemple, une paire de tong a un drop dit nul. Ou encore, le pied nu a un drop zéro car le talon et l’avant-pied sont tous les deux en contact direct avec le sol. C’est un élément de conception incontournable pour les ingénieurs produit. Le drop d’une chaussure devient un critère d’achat pour certains. D’autres aspects sont à prendre en compte comme son poids, sa hauteur ou sa flexibilité. Cependant, il n’existe aucune méthode universelle pour mesurer le drop d’une chaussure.

Le choix de la chaussure se fera aussi en fonction du type de terrain sur lequel nous allons pratiquer la course. Il est important de choisir la bonne pointure et prendre 1 taille au dessus de sa pointure de ville car avec l’effort et la transpiration, les pieds gonflent légèrement. Il est consillé de se laisser 1 cm entre les orteils et le bout de la chaussure.

 

Que change le drop d’une chaussure ?

La différence de hauteur entre le talon et l’avant de la basket de course a un impact sur le coprs et la foulée. Si le drop est faible, les mollets et le tendon d’Achille sont plus étirés. Il n’y a aucune certitude concernant l’effet du drop sur les performances ou les sur les blessures en course à pied.